Annonce d'évènements

Bienvenue et Merci pour votre soutien et pour votre aide - Enquêtes Publiques débutées le 20 juin 2011 et terminées le 18 août 2011 à 17H30 - Avis de l'Autorité Environnementale défavorable - Avis de la Commission d'Enquête défavorable - Le projet actuel est rejeté par l'Etat - Le préfet de Vendée ne veut pas d'un port de plaisance sur le site de la Normandelière - Le nouveau défi : le SCOT du Pays de Saint Gilles et le PLU de Brétignolles -

jeudi 28 mars 2013

Normandelière et les ports de plaisance ne sont pas saturés










Voiles et Voiliers du 15 février 2013 - Ports de Plaisance : Nous avons trouvé des places.
"Marché saturé, ports archi-complets, il est aujourd'hui absolument impossible de trouver une place pour un voilier. Voilà pour les «on-dit». Sauf qu'une fois tous les ports de plaisance de France contactés, le constat, sans être idyllique, est bien différent : oui, il reste des places pour accueillir nos voiliers !"

On nous dit : il manque 54000 places dans les ports, il faudrait construire de nouvelles infrastructures portuaires.
On nous ment et la fédération française des ports de plaisance l'a reconnu en décembre 2010. Il reste des places dans les ports, ce sont les spécialistes de la plaisance qui le disent aujourd'hui après vérification. Et avec des solutions innovantes en matière d'accueil, on peut en créer de nouvelles, c'est aussi l'avis de spécialistes.
Le Conseil Général de Vendée va-t-il aller à contre-courant et inventer des besoins en nouvelles infrastructures portuaires sur le littoral Vendéen, sur le site de la Normandelière en particulier,  pour que le projet de l'opportuniste Christophe Chabot (page 4 de Parole de Brétignollais de mars 2013) aille, une nouvelle fois, à l'enquête publique ?
Bruno Retailleau, président du Conseil Général de Vendée, s'étant exprimé en décembre 2011, on connaît sa position et on sait qu'il fera tout pour la défendre. On peut rappeler ses propos : "ce projet étudié avec sérieux depuis une dizaine d'années répond à un véritable besoin, il avance une estimation de 1800 anneaux d'amarrage dont manque la Vendée et évoque une opportunité de développement pour Brétignolles et les communes voisines, la filière nautique et les entreprises vendéennes de construction, des emplois et de l'activité économique en perspective"
On comprend mieux, après de tels propos, pourquoi Christophe Chabot a demandé au Conseil Général de Vendée une étude sur les besoins en infrastructures portuaires sur le littoral vendéen, les conclusions ne seront pas celles des spécialistes de la plaisance, les compétents, mais, naturellement, celles de Bruno Retailleau, le politique. Bien joué Cricri !



Petit Supplément :
Site du Sénat du 27 mars 2013 : Projet de loi relatif à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers intercommunaux, et modifiant le calendrier électoral.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Places disponibles à Port Bourgenay et au Port de l'Herbaudière. Pratiquement plus de liste d'attente aux Sables d'Olonne.
Une liste d'attente qui est passée de 1000 à moins de 400 à Port la Vie en 2012.
Les causes de cet effritement sont connues : classes creuses au niveau des retraités entraînant une faible demande de places de port, baisse du pouvoir d'achat ( notamment les retraités qui constituent le gros bataillon des ports vendéens ), raréfaction du poisson, hausse des coûts ( assurance, carburant, places de port...) entraînant une hausse des non renouvellement de contrats.
Cet effet ciseau brise la bulle inflationniste qui s'était instaurée sur les demandes de places de port. Quand quelque chose devient rare, tout le monde en veut ( même si le besoin réel n'existe pas ), dès que la notion de rareté disparaît ( cas des places de port ) la demande s'effondre.
La Vendée est loin d'être un cas à part et le phénomène, visible sur l'ensemble du littoral français, va s'accentuer dans les années à venir.


Anonyme a dit…

Le nombre de places manquantes dans les ports en France n'a visiblement pas beaucoup évolué depuis 10 ans...
Guide sur les ports à sec qui date de 2004 de l'AFIT :
"Les ports et mouillages sont largement saturés.
Le nombre de places manquantes en 2003 est
estimé à 54 000."
Messieurs les politiques, a mon avis, vous déblatérez en boucle toujours les mêmes chiffres avec une interprétation qui vous arrange et surtout sans discernement!
Normal! c'est le couillon de contribuable qui va payer la facture.
Vous devriez regarder de plus près cette étude...
Mais c'est vrai Mr Retailleau, c'est pas votre problème, vous vous préoccupez plus de sauvegarder le cumul des mandats et surtout vous avez peur qu'un fichier des élus locaux énumérant les fonctions et mandats qu'ils exercent soit mis en place...
(Intervention en commission du 25/02/2013)

NAP ne lâchez rien!!!

Sam Agace